Arthur resta figé sur la scène, le regard défini sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait personne, pas de mouvement, aucune brise relativement grande pour polir un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer solitaire, tels que s’il répondait à bien une https://davidg900tmd2.blog-eye.com/profile