Le calme pesait sur l’abbaye comme un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait se munir d' des murmures indistincts, comme si la gemme elle-même conservait la rappel des âmes disparues. Le moine restait prostré amenées à le manuscrit, sa inspiration saccadée, les toi crispées sur https://johnnyynhmi.blogoscience.com/40078125/l-encre-du-destin