Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du prénom d’Orhan découvrit un objet unique parmi ses sensationnelles acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en fin, maussade et délicatement façonné, décoré d'arabesques indéchiffrables qui semblaient danser sous l'éclairage des lampes à huile. Aucun souvenir de l’avoir acheté, aucune https://jolie-voyance91345.blogdomago.com/32768209/l-ombre-d-un-séparation