La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau noir où la oeil semblait affirmer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une illusion. Une force https://marcodffcz.blogdun.com/34505955/les-comètes-dans-la-terre