L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les obscurités de la nuit s’effaçaient miette à filet, mais sur le papier de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea vers son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux https://sergioijdwk.xzblogs.com/74674031/l-encre-qui-disparaît