Dans la blancheur infinie de la Sibérie en 1942, là où le silence est brisé exclusivement par les gémissements du vent, un soldat unique écoutait chaque soir une radio bricolée composée de câbles arrachés, de éléments gelés et d’intuition désespérée. Depuis qu’il l’avait construite, l’appareil captait une voix à heure https://erickiwjsc.blogdiloz.com/32916832/le-nombre-froid