L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une journée pâle. Les ombres de la nuit s’effaçaient soupçon à soupçon, mais sur le papier de riz, d’autres ombres persistaient. Comme tout matin, il se dirigea rythmique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs poésie https://jeffreyavmao.idblogz.com/34400759/la-clairvoyance-du-vent