Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les canaux de Makoko par exemple des esprits silencieux. Le quartier, suspendu entre boule et lagune, vibrait d’une envie dense et souterraine. Abeni, elle, restait ferme par-dessous sa toile, les yeux rivés sur sa plafond. Chaque matin, premier plan https://jaredktsqn.prublogger.com/33168309/les-cercles-immatériels