À Bucarest, les toits de cuivre oxydés luisaient d’un brillance terne par-dessous les premières pluies d’octobre. Dans un domicile excentré, à l’abri de quelques regards, une femme nommée Daciana avait transformé une viatique exclusive en sanctuaire vibratoire. Spécialiste en radiesthésie pendant l’adolescence, elle manipulait son pendule avec une rigueur qui https://johnathanfhyl395150.isblog.net/la-spirale-inversée-51219072