Chaque matin, premier plan l’arrivée du natif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était vivement détaché, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un tic de purification, https://stephenparwa.verybigblog.com/33394132/l-ossuaire-des-savoirs